Echos
de presse
Benoît Poelvoorde, trouve là l’un des rôles les plus bouleversants de sa carrière. Il faut des burnes pour préparer LE GRAND SOIR. - CINEMATEASER.COM
Kervern et Delépine poursuivent leur exploration de l’univers des sans-grade avec le même humour noir, la même énergie lucide et la même inventivité visuelle qui les ont jusqu’ici préservés de la lourdeur protestataire. - PREMIÈRE |
Ce duo possède un don que peu ont reçu, celui de capter la grâce chez les petites gens, de filmer les pires saloperies en les rendant sublimes, de transformer un sujet misérabiliste en conte parfois tordant. Ils ne répondent à aucune norme et représentent en quelque sorte le dernier bastion du cinéma français libre bénéficiant d’une exposition conséquente. Pour Le Grand soir, encore un beau titre à leur actif, ils se payent une rencontre entre Albert Dupontel et Benoît Poelvoorde, une rencontre explosive qui aboutit encore une fois sur un film complètement barré avant de toucher à quelque chose d’assez sublime. Une bouffée d’air dans une industrie complètement sclérosée. - FILMOSPHERE.COM |
« Le Grand Soir », cinquième film de Benoît Délépine et Gustave Kervern (« Aaltra », « Mammuth ») avec Benoît Poelvoorde à l’affiche, a établi un nouveau record à l’applaudimètre dans la catégorie Un Certain Regard. - LESOIR.BE
Le duo de réalisateurs arnacho-libertaires a imposé son style très personnel, gorgé d’humour noir sur fond de désespérance sociale. Et leur nouvel opus confirme cette trajectoire sans concession qui va en s’affinant sur le plan de la pure cinématographie, se délestant de quelques outrances et scories sans pour autant dévier des fondamentaux : un sens inné de la révolte et de la dérision. - CINEUROPA |
Le cadre est glauquissimement drôle, la révolte de Dupontel monte bien en crescendo, le chien de Poelvoorde fait un joli bras d’honneur au toutou de Dujardin dans The Artist en mangeant le vomis de son maître, bref les moments de bravoure sont là. On ne sera donc pas surpris de retrouver des qualités qui faisaient la force de leurs précédents films. Une direction d’acteurs aux petits oignons du premier au dernier rôle (avec une mention spéciale à Poelvoorde ), des dialogues aiguisés drôles, des audaces (Dupontel et Poelvoorde qui parlent en même temps à leur père pendant une scène incroyable) et une certaine poésie trash tout droit venue de Groland. On les aime, ces deux bougres! - ECRANLARGE.COM |
Kervern et Delépine ont gagné leur pari: ce film sur les laissés-pour-compte de la société, traité comme une franche comédie, a été applaudi cinq bonnes minutes en projection de presse. - Jean-François Guyot, LEPOINT.FR
Le Grand soir est un film qui marque une nouvelle fois la singularité de ses auteurs, qui ont trouvé encore des acteurs incroyables auxquels ils offrent un de leurs plus beaux rôles. [...] Un film libre tout simplement, porté par ce désir de ne pas se fondre dans la masse. - FILMOSPHÈRE
On n'avait pas vu Poelvoorde aussi bon depuis longtemps. Areski Belkacem et Brigitte Fontaine sont fantastiques. - LIBÉRATION
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